Vousvous demandez qui sont les acteurs importants dans un projet immobilier et quels sont leurs rĂŽles ?🧐 Tout est expliquĂ© ici !đŸ đŸ‘šđŸ»â€đŸ’» Pour tous Obtenirde l’argent. Pour dĂ©buter, les services d’un courtier en prĂȘts hypothĂ©caires sont totalement gratuits. Contrairement aux banques, il ne se contente pas de nĂ©gocier pour vous le prĂȘt hypothĂ©caire le plus favorable et le moins cher, il propose Ă©galement un choix de services financiers supplĂ©mentaires pour vous aider Ă  Ă©pargner et Ă  faire fructifier votre argent. Touten confirmant que l’association a passĂ© des accords avec des courtiers, Michel Guillaud tient Ă  rassurer : « Nous ne transformons pas les adhĂ©rents en Uncourtier ne prendra a priori pas un dossier qu’il juge non acceptable par la banque. L’avantage principal est de dĂ©poser un dossier qui sera prĂ©sentĂ© Ă  plusieurs banques. Vous gagnez du temps. Mais demandez avec quelles banques le courtier travaille. Il ne collabore pas avec toutes. Il arrive souvent qu’aprĂšs un examen de votre MeilleurerĂ©ponse. Wizzzzzz 5. 30 mars 2015 Ă  22:50. Bonjour. Le courtier n'est pas tenu de vous transmettre les refus, d'autant moins qu'il n'est payĂ© que si vous allez au bout de l'opĂ©ration. Vous l'avez mandatĂ© pour trouver un financement, il a rempli son contrat. Vay Nhanh Fast Money. Le rachat de crĂ©dit auprĂšs d’une banque est une opĂ©ration qui consiste Ă  rĂ©unir l’ensemble de vos prĂȘts en cours pour n’en former qu’un seul. L’idĂ©e est de rĂ©duire vos mensualitĂ©s de remboursement, de retrouver une certaine facilitĂ© de gestion dans vos finances, de rĂ©aliser des Ă©conomies grĂące Ă  de meilleures conditions financiĂšres ou encore de dĂ©gager de la trĂ©sorerie supplĂ©mentaire pour financer un projet. Tous les types de prĂȘts sont Ă©ligibles au rachat de crĂ©dit prĂȘt immobilier, prĂȘt personnel, crĂ©dit Ă  la consommation, dĂ©couvert bancaire
 Mais les Ă©tablissements prĂȘteurs ont besoin de garanties. Ils Ă©tudient donc votre profil d’emprunteur pour savoir si vous serez en mesure de les rembourser. Ainsi, une banque peut refuser votre demande de rachat de crĂ©dit. Quels sont les critĂšres rĂ©dhibitoires pour faire un regroupement de crĂ©dits ? Les voici ! Quels sont les motifs de refus d’un rachat de crĂ©dit ? Bien que les conditions ne cessent d’évoluer dans le temps, notamment en fonction de nouvelles rĂšgles commerciales adoptĂ©es et du renforcement du cadre rĂ©glementaire, il est possible de mentionner les Ă©lĂ©ments qui conduisent Ă  un refus de la part de la banque pour un rachat de crĂ©dit. Parmi ces motifs de refus, on peut notamment citer les cas de figure suivants un premier regroupement de crĂ©dits ayant Ă©tĂ© concrĂ©tisĂ© depuis moins d’un an ;un emprunteur qui ne parvient pas Ă  Ă©pargner et ne dispose pas d’avoirs de prĂ©caution ;une personne qui affiche une propension Ă©levĂ©e Ă  multiplier les crĂ©dits notamment les crĂ©dits revolving crĂ©dits renouvelables ;une opĂ©ration souhaitĂ©e dans le cadre d’une promotion immobiliĂšre ou de marchands de biens ;un individu qui prĂ©sente une absence d’amortissement d’un crĂ©dit immobilier ;une opĂ©ration concernant un prĂȘt prĂ©sentant des impayĂ©s au remboursement ;une personne exerçant en profession libĂ©rale ou en tant qu’indĂ©pendant. Si les 3 derniers bilans dĂ©voilent une chute marquante des revenus de son entreprise et/ou une situation financiĂšre dĂ©gradĂ©e. Comme par exemple bilan dĂ©sĂ©quilibrĂ©, dĂ©ficit de trĂ©sorerie, diminution de la marge, etc. ;un rachat de soulte avant un divorce sans consentement mutuel. Votre banque vous refuse un rachat de crĂ©dits ? Vous avez des difficultĂ©s Ă  rembourser vos emprunts ? Envisagez le regroupement de crĂ©dits immobilier, consommation ! Cette opĂ©ration bancaire vous permet de mettre en place une nouvelle Ă©chĂ©ance adaptĂ©e Ă  la capacitĂ© rĂ©elle de vos remboursements. Nos experts vous accompagnent afin de trouver la solution financiĂšre adaptĂ©e Ă  votre situation. Demander une simulation gratuite D’autres raisons possibles, mais non rĂ©dhibitoires Si la liste prĂ©cĂ©dente n’est pas exhaustive, on peut dĂ©jĂ  retourner la question pour dĂ©gager les Ă©lĂ©ments qui apparaissent rĂ©dhibitoires pour l’accĂšs au rachat de crĂ©dit mais qui en fait ne le sont pas nĂ©cessairement. On peut notamment Ă©voquer un emprunteur dont le niveau d’endettement est dĂ©jĂ  Ă©levĂ© avant qu’il ne sollicite une offre de rachat de crĂ©dit ;ou bien un emprunteur qui a subi des saisies arrĂȘts et des avis Ă  tiers dĂ©tenteurs ;mais aussi un emprunteur ayant actionnĂ© la solution du regroupement de crĂ©dits il y a plus d’un an ;une personne qui dĂ©passe un taux d’endettement de 33 % aprĂšs un regroupement en banque de dĂ©pĂŽt. Cette derniĂšre peut trouver une solution de regroupement de personne lestĂ©e par des dettes sociales et fiscales ;un emprunteur propriĂ©taire qui serait fichĂ© Ă  la Banque de France ;un consommateur qui affiche des rejets de prĂ©lĂšvements. Si ces Ă©lĂ©ments n’excluent pas d’office le recours au rachat de crĂ©dits, il est important de garder en tĂȘte qu’il sera tout de mĂȘme plus difficile d’obtenir un financement de la part d’un organisme bancaire. Que faire aprĂšs un refus ? Votre dossier de rachat de crĂ©dit a Ă©tĂ© refusĂ© ? Il est important de ne pas perdre espoir. En effet, d’un Ă©tablissement bancaire Ă  un autre, les critĂšres d’octroi et les politiques de risque varient. Ainsi, un dossier de prĂȘt refusĂ© auprĂšs d’une banque pourra ĂȘtre acceptĂ© auprĂšs d’une autre. C’est pour cette raison qu’il est fortement conseillĂ© d’effectuer des demandes auprĂšs de plusieurs organismes de crĂ©dit. Qu’il s’agisse de banques traditionnelles ou de sociĂ©tĂ©s spĂ©cialisĂ©es en ligne. Une seconde possibilitĂ© s’offre aux emprunteurs qui rencontrent des difficultĂ©s Ă  obtenir un rachat de crĂ©dit. On peut faire appel Ă  un courtier. Celui-ci, grĂące Ă  son rĂ©seau de partenaires qui sont spĂ©cialisĂ©s dans le regroupement. Ces derniers ont donc des critĂšres plus larges que les banques traditionnelles. De fait, ils reprĂ©sentent une solution efficace pour vous aider Ă  obtenir le financement souhaitĂ©. En effet, de par son expĂ©rience, il sait Ă  quelles banques s’adresser en premier lieu. Il sait de mĂȘme comment prĂ©senter au mieux une demande de financement pour qu’elle soit acceptĂ©e. Bon Ă  savoir En cas de refus de rachat de crĂ©dit, l’établissement financier ou le courtier ne peut pas lĂ©galement facturer de frais ou de pĂ©nalitĂ©s. Cette disposition est prĂ©vue dans la loi Murcef du 11 dĂ©cembre 2001. Si des frais avaient Ă©tĂ© prĂ©levĂ©s par avance, l’organisme est dans l’obligation de rembourser les montants perçus Ă  l’emprunteur sans aucune retenue. Est-il possible de faire un rachat de crĂ©dit suite Ă  une liquidation judiciaire ? Une procĂ©dure de liquidation judiciaire est engagĂ©e lorsqu’une sociĂ©tĂ© en situation de fragilitĂ© financiĂšre. Si elle ne parvient plus Ă  faire face Ă  ses Ă©chĂ©anciers. Cette procĂ©dure collective ordonnĂ©e par le tribunal de commerce consiste Ă  dissoudre la sociĂ©tĂ©. Ses biens sont alors vendus pour payer les dettes contractĂ©es auprĂšs de ses crĂ©anciers. Au moment d’analyser le dossier de rachat de crĂ©dit, le banquier s’intĂ©resse au passĂ© de son client. Ce dernier peut avoir vĂ©cu dans sa vie professionnelle une liquidation judiciaire. Autant que ce dernier le rapporte lui-mĂȘme puisque le conseiller finira toujours par trouver l’information en questionnant ses antĂ©cĂ©dents. Surtout, le client gagnera du temps et un peu de confiance dans l’échange avec son conseiller spĂ©cialisĂ© dans les opĂ©rations de regroupement de crĂ©dits. Une liquidation judiciaire rĂ©cemment prononcĂ©e fait partie des critĂšres rĂ©dhibitoires. Elle barre l’accĂšs au rachat de prĂȘts, notamment si des erreurs ou des fautes de gestion sont mises en avant. Il faudra au moins patienter jusqu’à la parution de l’avis de clĂŽture de la liquidation judiciaire. Cette derniĂšre parait dans le journal d’annonces lĂ©gales. Ce faisant, la sociĂ©tĂ© perd de facto la personnalitĂ© morale, le liquidateur procĂ©dant Ă  la radiation de l’entreprise du registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s sous un mois. Une liquidation judiciaire plus ancienne pĂšse moins lourd dans votre profil d’emprunteur. L’organisme prĂȘteur sera surtout attentif Ă  la situation d’endettement actuelle. En revanche, si la clĂŽture de la liquidation judiciaire est en cours, aucune possibilitĂ© d’obtenir un rachat de crĂ©dit n’est envisageable. Dans le cadre d’un surendettement de jeu ? Une banque s’intĂ©resse Ă  plusieurs Ă©lĂ©ments pour dessiner un profil d’emprunteur. Les revenus, le patrimoine, l’anciennetĂ© dans une activitĂ© d’entrepreneur ou salariale et la situation familiale sont particuliĂšrement observĂ©s. Pour faire confiance, une banque recherche avant tout des clients fiables donc stables. De ce fait, toutes les addictions dĂ©pensiĂšres repĂ©rĂ©es sont autant de barriĂšres Ă  l’accĂšs au regroupement de prĂȘts. Ainsi, demander un rachat de crĂ©dit alors que des dettes de jeux sont clairement visibles sur les relevĂ©s de compte bancaire exclut automatiquement ce candidat de la course. Les jeux d’argent compulsifs dĂ©peignent un profil instable et un rapport Ă  l’argent non maitrisĂ©. Les organismes prĂȘteurs traquent Ă©videmment toute forme de dĂ©pendance entrainant des dĂ©rives dispendieuses. Vous l’aurez compris, pour obtenir un rachat de crĂ©dit dans cette situation, il faudra montrer patte blanche. Il s’agit d’un critĂšre vraiment rĂ©dhibitoire. Pour pouvoir contracter un rachat de crĂ©dit avec un tel profil, l’emprunteur devra justifier de trois mois de relevĂ©s de compte avec trĂšs peu de mouvements bancaires concernant le jeu, une absence de ces derniers Ă©tant idĂ©ale. Par exemple, aucun prĂ©lĂšvement de bookmakers ne doit apparaĂźtre, dans le cas des adeptes aux paris sportifs. Le fichage Ă  la Banque de France bloque-t-il l’accĂšs au rachat de crĂ©dit ? Oui, ĂȘtre interdit bancaire, inscrit au FICP Fichier des incidents de paiement de crĂ©dits aux particuliers est un critĂšre rĂ©dhibitoire si vous ĂȘtes locataire. Par contre, ce n’est pas le cas si vous ĂȘtes propriĂ©taire Ă  condition que votre bien immobilier soit mis en garantie et que votre niveau d’endettement reflue Ă  40 % voire 45 % aprĂšs l’opĂ©ration. Il faut rappeler que le fichage Ă  la Banque de France est une information, non une sanction. En France, il existe trois fichiers FCC, FICP et FNCI dont les deux premiers sont les plus connus. Comment est-on fichĂ© Ă  la banque de France ? l’inscription au FCC survient quand un chĂšque Ă©mis par la personne a Ă©tĂ© refusĂ© ou lors de l’utilisation abusive d’une carte bancaire ;l’inscription au FICP survient quand un incident de remboursement d’un emprunt crĂ©dit immobilier, crĂ©dit conso est constatĂ©. Une barriĂšre que l’on peut franchir Le fichage Ă  la Banque de France reste un obstacle Ă  l’accĂšs aux solutions de rachat de crĂ©dit mais non une barriĂšre infranchissable. L’organisme prĂȘteur consulte Ă©videmment ses fichiers. Une inscription indique une situation financiĂšre dĂ©gradĂ©e, donc un point nĂ©gatif dans la balance au moment de l’étude de votre dossier. Toutefois, certaines banques acceptent Ă  condition d’ĂȘtre propriĂ©taire d’un bien immobilier et de l’hypothĂ©quer transfert d’hypothĂšque en cas de crĂ©dit immobilier en cours ;d’avoir contractĂ© des incidents de paiements auprĂšs de deux Ă©tablissements prĂȘteurs maximum ;de ne pas avoir fait un chĂšque sans provision supĂ©rieur Ă  €. Toutefois, si cela vous est possible, il est plus aisĂ© de rĂ©soudre en prioritĂ© les incidents en cours avant de solliciter un rachat de crĂ©dit. Par exemple, dans le cadre d’un fichage au FCC, l’emprunteur qui rĂ©gularise les chĂšques en impayĂ©s bĂ©nĂ©ficie trĂšs rapidement d’une radiation de cette inscription dans le fichier national. Un peu d'air dans votre budget ! 1 + 1 + 1 crĂ©dits = 1 seul crĂ©dit ! Avec le rachat de crĂ©dits, vous regroupez toutes vos dettes en une seule, et rĂ©duisez ainsi le montant global de vos remboursements... Difficile Ă  croire ? Simulez vos Ă©conomies pour voir ! Les diffĂ©rentes catĂ©gories d'intermĂ©diaires financiers pratiquent leurs activitĂ©s selon des modes d'exercice distincts. Mais encore, la lĂ©gislation prĂ©voit des possibilitĂ©s, pour certains autres professionnels dits dĂ©rogataires », de pratiquer une intermĂ©diation accessoire. Selon la catĂ©gorie Ă  laquelle appartient l'intermĂ©diaire, les modalitĂ©s d'exercice des activitĂ©s d'intermĂ©diation sont diffĂ©renciĂ©es. Inversement, les modalitĂ©s d'exercice de l'intermĂ©diaire dĂ©cident en pratique du statut qu'il doit adopter. IntermĂ©diaires d'assurance S'agissant de l'intermĂ©diation en assurance, l'article R. 511-2 du code des assurances liste les diffĂ©rentes catĂ©gories d'intermĂ©diaires, indiquant, par renvoi aux dispositions de l'article L. 520-1 du code des assurances rĂ©gissant les obligations d'information et de conseil des intermĂ©diaires, les modalitĂ©s admises d'exercice de leurs activitĂ©s. Agents gĂ©nĂ©raux d'assurance Ils sont par nature soumis Ă  une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec une ou plusieurs entreprises d'assurance. Mandataires Les mandataires d'assurances peuvent ĂȘtre ou non soumis Ă  une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec une ou plusieurs entreprises d'assurances. S'ils ne sont pas soumis Ă  cette obligation, ils exercent nĂ©anmoins leur activitĂ© sans ĂȘtre en mesure de fonder leur analyse sur un nombre suffisant de contrats d'assurance offerts sur le marchĂ©. Dans ce cadre, et de mĂȘme que pour les courtiers agissant selon ces modalitĂ©s, ils doivent alors informer le souscripteur Ă©ventuel qu'il peut lui ĂȘtre communiquĂ©, Ă  sa demande, le nom des entreprises d'assurances avec lesquelles ils travaillent. Ils disposent de pouvoirs limitĂ©s. En effet, leur activitĂ© est limitĂ©e Ă  la prĂ©sentation, la proposition ou l'aide Ă  la conclusion d'une opĂ©ration d'assurance et, Ă©ventuellement, Ă  l'encaissement matĂ©riel des primes ou cotisations. Toutefois, ce principe connaĂźt des exceptions en matiĂšre d'assurance vie, oĂč le mandataire peut Ă©galement rĂ©aliser la remise matĂ©rielle des sommes dues aux assurĂ©s ou bĂ©nĂ©ficiaires ; lorsque le mandataire est un Ă©tablissement de crĂ©dit, ou exerce dans le cadre d'assurance transport ; il n'est rien prĂ©cisĂ© s'agissant des mandataires d'intermĂ©diaires pour lesquels il serait toutefois logique qu'ils exercent leurs activitĂ©s de la mĂȘme façon que leurs mandants, ni pour les intermĂ©diaires Ă©trangers, ces questions relevant de leur droit d'origine. En pratique, ces diffĂ©rents statuts emportent des consĂ©quences sur les conditions d'habilitation qui divergent selon la catĂ©gorie dans laquelle l'intermĂ©diaire est habilitĂ©, et sur leurs obligations d'information et de conseil. Le statut influe Ă©galement sur le rĂ©gime de responsabilitĂ©, dans la mesure oĂč l'employeur ou mandant est en effet en principe responsable des actes rĂ©alisĂ©s par son mandataire. Par ailleurs, le courtier est, par principe, propriĂ©taire de la clientĂšle auprĂšs de laquelle il place des contrats d'assurance, tandis que le mandataire d'assurance dĂ©marche la clientĂšle au nom et pour le compte de son mandant. Courtiers Dans le cadre de l'exercice de leurs activitĂ©s d'intermĂ©diation en assurance, les courtiers d'assurance ou de rĂ©assurance ne doivent, en tout Ă©tat de cause, pas ĂȘtre soumis Ă  une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec une ou plusieurs entreprises d'assurance sauf Ă  prendre Ă©galement un autre statut. La rĂ©glementation prĂ©voit deux modes d'exercice de leurs activitĂ©s dans le cadre de cette absence d'exclusivitĂ© le cas dans lequel ils se prĂ©valent d'une analyse objective du marchĂ©, auquel cas ils sont tenus d'analyser un nombre suffisant de contrats ou ; le cas dans lequel ils ne sont pas en mesure de fonder leur analyse sur un nombre suffisant de contrats d'assurance. Ils doivent alors informer le souscripteur Ă©ventuel qu'il peut lui ĂȘtre communiquĂ©, Ă  sa demande, le nom des entreprises d'assurances avec lesquelles ils travaillent. Le cas des courtiers grossistes Les courtiers grossistes sont une catĂ©gorie particuliĂšre de distributeurs de produits d'assurance dont la spĂ©cificitĂ© n'est pas reconnue par la rĂ©glementation. Ils conçoivent des produits d'assurance, les placent et/ou les souscrivent auprĂšs d'organismes assureurs, et les prĂ©sentent Ă  un rĂ©seau de courtiers directs indĂ©pendants, qui les prĂ©sentent Ă  leurs clients. Ainsi, dans le processus de commercialisation, le courtier grossiste n'est qu'exceptionnellement en relation directe avec le client, assurĂ© bĂ©nĂ©ficiaire des garanties. Dans le cadre de la distribution de produits d'assurance faisant intervenir un courtier grossiste et un courtier direct, s'est posĂ©e la question des obligations Ă  la charge des diffĂ©rents intervenants. Sur les conditions d'habilitation mĂȘme sans contact direct avec les clients, les courtiers grossistes rĂ©alisent des activitĂ©s d'intermĂ©diation en assurance, il en rĂ©sulte la nĂ©cessitĂ© d'une immatriculation au registre de l'Orias en qualitĂ© de courtier. Sur le devoir de conseil les dispositions du code des assurances ne distinguent pas les courtiers grossistes des courtiers directs. Ces dispositions ne prĂ©cisent pas, dans cette situation, sur qui devraient reposer les obligations de conseil. La doctrine a pu faire un parallĂšle avec la rĂ©glementation sur la commercialisation des produits d'assurance vie pour en dĂ©duire qu'Ă  dĂ©faut de contact entre le courtier grossiste et les clients, l'obligation de conseil devrait davantage reposer sur le courtier direct. En effet, il rĂ©sulte de l'ordonnance n° 2009-106 du 30 janvier 2009 une obligation d'information alternative pesant sur l'assureur en l'absence d'intermĂ©diaire, et sur l'intermĂ©diaire Ă  l'exclusion de l'assureur en cas de vente intermĂ©diĂ©e. La Chambre syndicale des courtiers d'assurances CSCA a proposĂ©, pour sa part, un code de conduite 14 mai 2009 amĂ©nageant les rapports entre les courtiers grossistes et les courtiers directs dans l'exĂ©cution auprĂšs des clients des obligations de conseil et fixant des obligations Ă  la charge des deux intervenants. SchĂ©matiquement, le code de bonne conduite prĂ©voit que, dans la mesure oĂč le courtier direct est seul Ă  ĂȘtre en relation avec le client, il recueille et analyse les besoins de celui-ci, mettant en oeuvre, outre ses propres compĂ©tences, les moyens et connaissances mis Ă  sa disposition par le courtier grossiste. Pour autant, et lorsque le courtier direct sollicite l'assistance du courtier grossiste, le code de conduite prĂ©-voit que le document d'information et de conseil sera signĂ© par les deux courtiers qui seront codĂ©biteurs de cette obligation. La jurisprudence s'est rĂ©cemment prononcĂ©e sur le sujet, retenant une solution allant dans le sens des propositions rĂ©sultant du code de bonne conduite CA, Aix-en-Provence, 14 septembre 2011, n° 2011/333. En effet, la cour d'appel a jugĂ©, tout en estimant que la distinction entre courtier direct et courtier grossiste rĂ©sultait de considĂ©rations Ă©conomiques et non juridiques, que l'existence d'un courtier grossiste ne privait pas le courtier direct de son obligation d'information et de conseil vis-Ă -vis du client. Elle retient, dĂšs lors, la responsabilitĂ© du courtier direct, excluant de ce fait la responsabilitĂ© du courtier grossiste qui n'est pas intervenu dans la prĂ©sentation du produit au client. On notera toutefois que le courtier grossiste n'Ă©tait pas partie Ă  l'instance, et que l'on peut dĂšs lors s'interroger sur le fait de savoir si sa prĂ©sence Ă  l'instance aurait ou non influĂ© sur la dĂ©cision. IntermĂ©diaires en opĂ©rations de banque et en services de paiement La rĂ©glementation applicable aux intermĂ©diaires en opĂ©rations de banque et en services de paiement s'inspire trĂšs largement de ce qui prĂ©cĂšde. En effet, l'article R. 519-4 du code monĂ©taire et financier CMF liste les diffĂ©rentes catĂ©gories d'intermĂ©diaires habilitĂ©s, et prĂ©cise, pour chacune d'elles, les modalitĂ©s d'exercice de leurs activitĂ©s. Il distingue les courtiers en opĂ©rations de banque et en services de paiement, qui exercent l'intermĂ©diation en vertu d'un mandat du client, Ă  l'exclusion de tout mandat d'un Ă©tablissement de crĂ©dit ou d'un Ă©tablissement de paiement, et qui ne sont pas soumis Ă  une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec un Ă©tablissement de crĂ©dit ou un Ă©tablissement de paiement ; les mandataires exclusifs en opĂ©rations de banque et en services de paiement, qui exercent l'intermĂ©diation en vertu d'un mandat d'un Ă©tablissement de crĂ©dit ou d'un Ă©tablissement de paiement, et qui sont soumis Ă  une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec l'un de ces Ă©tablissements pour une catĂ©gorie dĂ©terminĂ©e d'opĂ©rations de banque ou de services de paiement ; les mandataires en opĂ©rations de banque et en services de paiement, qui exercent l'intermĂ©diation en vertu d'un ou plusieurs mandats non exclusifs dĂ©livrĂ©s par un ou plusieurs Ă©tablissements de crĂ©dit ou Ă©tablissements de paiement ; les mandataires d'intermĂ©diaires en opĂ©rations de banque et en ser-vices de paiement. Il en est de mĂȘme que pour les mandataires d'intermĂ©diaires d'assurance, rien n'est prĂ©cisĂ© sur les modalitĂ©s d'exercice de leurs activitĂ©s. Ici encore, il semble logique qu'ils exercent leurs activitĂ©s de la mĂȘme façon que leurs mandants. De la mĂȘme façon que s'agissant des intermĂ©diaires d'assurance, le choix du statut influe Ă©galement sur les conditions d'accĂšs, les obligations d'information et de conseil. Par ailleurs, les dĂ©veloppements sur la responsabilitĂ© ou la propriĂ©tĂ© de clientĂšle applicables aux intermĂ©diaires d'assurance semblent Ă©galement transposables. Les dĂ©rogataires » assurance Il est prĂ©vu plusieurs exceptions Ă  l'obligation de disposer du statut d'intermĂ©diaire d'assurance ou d'intermĂ©diaire en opĂ©rations de banque. Les indicateurs Le code des assurances cite ces intervenants, dont le rĂŽle se borne Ă  mettre en relation l'assurĂ© et l'assureur, ou l'assurĂ© et l'un des intermĂ©diaires d'assurance, ou Ă  signaler l'un Ă  l'autre. À dĂ©faut de rĂ©aliser des activitĂ©s d'intermĂ©diation proprement dites, ils n'ont pas Ă  disposer de la qualitĂ© d'intermĂ©diaires habilitĂ©s. La qualification de dĂ©rogataire Le respect de plusieurs critĂšres cumulatifs permet la distribution d'un produit d'assurance sans disposer du statut d'intermĂ©diaire habilitĂ©. Il convient, dans ce cadre, que l'activitĂ© d'intermĂ©diation soit accessoire et que les contrats d'assurance rĂ©pondent Ă  l'ensemble des caractĂ©ristiques suivantes le contrat d'assurance requiert uniquement une connaissance de la couverture offerte par l'assurance ; le contrat d'assurance n'est pas un contrat d'assurance vie ; le contrat d'assurance ne comporte aucune couverture de la responsabilitĂ© civile ; le contrat d'assurance constitue un complĂ©ment au produit ou au service fourni par un fournisseur et couvre soit le risque de mauvais fonctionnement, de perte, y compris vol, ou d'endommagement des biens fournis ; soit l'endommagement ou la perte, y compris le vol, de bagages et les autres risques liĂ©s Ă  un voyage, mĂȘme si l'assurance couvre la vie ou la responsabilitĂ© civile, Ă  la condition que cette couverture soit accessoire Ă  la couverture principale relative aux risques liĂ©s Ă  ce voyage ; le montant de la prime annuelle ne dĂ©passe pas 500 €, et la durĂ©e totale du contrat d'assurance, reconductions Ă©ventuelles comprises, n'est pas supĂ©rieure Ă  cinq ans. Les entreprises d'assurances et de rĂ©assurance, et leurs salariĂ©s Ces personnes peuvent rĂ©aliser des activitĂ©s d'intermĂ©diation sans pour autant ĂȘtre immatriculĂ©es. Les dĂ©rogataires » opĂ©rations de banque Les indicateurs Le code monĂ©taire et financier prĂ©cise qu'ils ne sont pas des IOBSP et ne sont pas soumis Ă  l'ensemble des obligations qui leur sont applicables les personnes dont le rĂŽle se limite, contre rĂ©munĂ©ration ou Ă  titre gratuit, Ă  indiquer un Ă©tablissement de crĂ©dit, un Ă©tablissement de paiement ou un intermĂ©diaire en opĂ©rations de banque et en services de paiement Ă  des personnes intĂ©ressĂ©es Ă  la conclusion d'une opĂ©ration de banque ou d'un service de paiement, sans remise de documents autres que publicitaires se rapportant Ă  l'opĂ©ration de banque ou au service de paiement et mis Ă  leur disposition par un Ă©tablissement de crĂ©dit, un Ă©tablissement de paiement ou un intermĂ©diaire en opĂ©rations de banque et en services de paiement ; les personnes dont le rĂŽle se limite Ă  transmettre Ă  un Ă©tablissement de crĂ©dit, un Ă©tablissement de paiement ou Ă  un intermĂ©diaire en opĂ©rations de banque et en services de paiement les coordonnĂ©es d'une personne intĂ©ressĂ©e Ă  la conclusion d'une opĂ©ration de banque ou de services de paiement. La qualification de dĂ©rogataire Le code monĂ©taire et financier prĂ©voit Ă©galement que le respect de plusieurs critĂšres cumulatifs dispense de disposer du statut d'intermĂ©diaire habilitĂ©. Ces dĂ©rogataires sont les personnes offrant des services d'intermĂ©diation en opĂ©rations de banque et en services de paiement qui constituent un complĂ©ment aux produits ou services fournis dans le cadre de leur activitĂ© professionnelle, dĂšs lors que leur activitĂ© n'excĂšde pas pour les opĂ©rations de banque soit 20 opĂ©rations par an, soit un montant annuel de deux cent mille euros 200 000 € ; pour les services de paiement 20 opĂ©rations par an. Pour information, on notera qu'il est toutefois prĂ©vu que cette disposition ne s'applique pas au dĂ©marchage bancaire et financier ainsi qu'Ă  certains types de crĂ©dits notamment les crĂ©dits immobiliers ; les Ă©tablissements de crĂ©dit ou de paiement et leurs salariĂ©s ; les personnes dont l'activitĂ© d'intermĂ©diation en opĂ©rations de banque et en services de paiement est liĂ©e aux opĂ©rations connexes aux activitĂ©s des Ă©tablissements de crĂ©dit ou aux services connexes aux services d'investissement, dont la liste figure au code monĂ©taire et financier ; les agents de prestataires de services de paiement et les personnes mandatĂ©es par les Ă©tablissements de crĂ©dit en vue de la dĂ©livrance de monnaie. La rĂ©glementation des IOBSP est largement inspirĂ©e de celle des intermĂ©diaires d'assurances. Les indicateurs assurance et banque ne sont pas des RETENIRLes modalitĂ©s d'exercice de l'intermĂ©diation dĂ©cident en pratique du statut que l'intermĂ©diaire doit adopter. À NOTER La pratique dĂ©rogatoire » vise Ă  rĂ©pondre au besoin de certains professionnels de complĂ©ter leur activitĂ© par la fourniture de produits financiers ou d'assurance. Bonjour, aujourd’hui, je vous propose d’aborder un sujet qui intĂ©resse tout le monde lorsque que l’on parle d’immobilier les banquiers ». Je vous propose une interview, avec un ancien banquier, GĂ©rald, qui va vous expliquer pourquoi les banquiers vous disent NON plus facilement qu’ils vous disent OUI, et il vous donnera quelques astuces, pour faire en sorte que le banquier vous dise oui un peu plus facilement. Olivier Seban GĂ©rald bonjour. Peux tu te prĂ©senter en quelques mots ? GĂ©rald J’ai 50 ans, et j’ai Ă©tĂ© banquier pendant 13 ans. J’ai fait 4 ans et demi de gestion de patrimoine. Cela fait maintenant 16 ans, que je suis courtier en prĂȘt immobilier. Ma premiĂšre question pourquoi un banquier nous dit non. Parce que ce n’est pas un spĂ©cialiste du crĂ©dit immobilier. Ce n’est pas un spĂ©cialiste du crĂ©dit !? Pourtant lorsque tu as pour projet d’acheter un appartement, que ce soit ta rĂ©sidence principale ou un investissement locatif, la premiĂšre chose que tu fais c’est d’appeler le banquier ! C’est un spĂ©cialiste de la banque, pas un spĂ©cialiste du crĂ©dit. Son activitĂ© c’est gĂ©rer les comptes, faire de l’épargne. C’est plus rĂ©munĂ©rateur pour lui, que de faire du crĂ©dit, sur lequel il n’est pas commissionnĂ©. C’est une tĂąche relativement lourde oĂč il aura affaire avec sa hiĂ©rarchie avec tout ce que cela comporte, et derriĂšre, pas de commission. Ce sont tous ces paramĂštres, qui font qu’il n’est pas trĂšs motivĂ©. Il n’est pas motivĂ©, mais ça veut dire quoi ? Il cherche les mauvaises raisons, ou plutĂŽt les bonnes raisons pour lesquelles il pourrait dire non, comment cela se passe ? Il faut savoir qu’un banquier, quand il Ă©tudie un dossier, va d’abord rechercher toutes les raisons pour ne pas accorde le crĂ©dit. C’est plus facile Ă  dĂ©nicher
 S’il y a un compte dĂ©biteur, S’il y a un rejet de prĂ©lĂšvement, Un endettement un peu trop fort, etc
 Et s’il ne trouve pas de raison pour refuser, il validera le crĂ©dit. Il faut donc que tu lui donnes les bonnes raisons de t’accorder ton prĂȘt ? Ce n’est pas le banquier qui va fouiller, dĂ©nicher les raisons pour lesquelles il validera le dossier. C’est au client de prĂ©senter son dossier dans les meilleures conditions pour obtenir un accord. C’est au client ou Ă  son intermĂ©diaire de fournir les Ă©lĂ©ments. Ce n’est pas le banquier qui le fera. Prenons un cas concret. J’ai pour projet d’acheter un appartement que je veux mettre en location. Pourquoi le banquier pourrait me dire non ? DĂ©jĂ , ce n’est pas un agent immobilier, il ne connaĂźt pas forcĂ©ment le secteur, le rendement locatif qu’il est possible d’obtenir, etc
. Ensuite cela dĂ©pend de diffĂ©rents Ă©lĂ©ments si dans cette opĂ©ration, vous engagez de l’épargne qu’il avait dĂ©jĂ  sur un compte, il peut voir d’un mauvais Ɠil, cette Ă©pargne disparaitre au profit d’un crĂ©dit. AprĂšs, il peut trouver toutes les bonnes raisons humaines. Il peut, lui, ne pas avoir envie de faire cette opĂ©ration, alors que vous c’est une opĂ©ration vitale pour vous. Cela peut ĂȘtre un appartement ou une maison que vous souhaitez acheter pour y vivre. HĂ©las, il eut y avoir beaucoup de bonnes raisons pour lesquelles, on n’arrive pas Ă  obtenir l’aval du banquier alors que le dossier est de bonne qualitĂ©. Tu dis qu’ils ne sont pas commissionnĂ©s, pourtant mon chargĂ© de compte essaye tous les jours de me vendre quelque chose. Je sais qu’il est commissionnĂ©. Sur certains produits il a des objectifs. Ce qui n’est pas le cas sur les crĂ©dits immobiliers, les objectifs sont relativement faibles, en pĂ©riode actuelle il atteint ses objectifs assez facilement. Un deuxiĂšme paramĂštre, les taux aujourd’hui ils sont trĂšs trĂšs bas. Ce qui veut dire que la marge est trĂšs trĂšs faible au niveau de la banque. Et en fin d’annĂ©e, s’il n’y a pas de marge, il n’y a pas de commission. Aujourd’hui c’est tout un tas de facteurs, qui font qu’il est plus difficile d’obtenir un prĂȘt. Alors que, il y a simplement un an, c’était plus facile. Si la banque ne gagne pas d’argent, pourquoi elle vend quand mĂȘme du crĂ©dit ? Elle vend du crĂ©dit certes, mais ne cherche pas Ă  en vendre. Ainsi on voit quelquefois des refus sur certains dossiers, oĂč le taux d’endettement est dans les normes. En fait le prĂȘt immobilier est utilisĂ© pour capter des nouveaux clients Ă  qui il pourra placer ses produits. Faire du prĂȘt pour du prĂȘt, aujourd’hui aux conditions actuelles avec des marges trĂšs trĂšs basses, ça ne l’intĂ©resse pas. C’est donc un outil de fidĂ©lisation. Car lorsque le client aura signĂ© pour 15 ans donc, la banque est Ă  peu prĂšs sur, que au moins pour les dix ans Ă  venir, que le client sera lĂ . Et c’est une des raisons principales, pour lesquelles les courtiers ont le plus de facilitĂ©s Ă  nĂ©gocier. Car non seulement ce sont des spĂ©cialistes, mais leurs interlocuteurs, ce sont les siĂšges des banques. Eux ne cherchent pas Ă  faire du chiffre et de la marge mais cherche Ă  capter de nouveaux clients. A la diffĂ©rence d’agence, qui est un centre de profits, un petit commerce, et qui a besoin de faire de la marge, sinon il y a pas de rĂ©munĂ©ration en fin d’annĂ©e. Je vais te poser une question un peu bĂȘte mais recommandes tu plutĂŽt d’aller voir un courtier ou une banque ? On a de plus en plus de banquiers qui recommandent Ă  leurs clients d’aller voir un courtier. Pour pouvoir rĂ©pondre, favorablement Ă  ses clients, derriĂšre, aux meilleures conditions, en espĂ©rant que le courtier va retourner leur client dans leur banque mais sans nĂ©gocier. Aujourd’hui, je conseillerais Ă  tous ceux qui souhaitent mettre en place un prĂȘt, de prendre contact avec courtier. D’apprendre Ă  nĂ©gocier avec le courtier plutĂŽt qu’un Ă©tablissement bancaire, parce que si on dit des bĂȘtises c’est irrĂ©mĂ©diable. Le banquier est au courant, et il se servir de la rĂ©ponse du client pour lui dire NON. Alors que le courtier saura ce qu’il ne faut pas dire et ce qu’il faut mettre en avant parce que ce n’est pas un Ă©lĂ©ment favorable. Sachant que, au niveau d’un courtier le client est tranquille, il ne paie pas d’honoraires ni de frais, tant qu’il n’acceptera pas l’offre de prĂȘt. Donc, c’est pour lui un moyen d’avoir des solutions en toute tranquillitĂ©. En tant que courtier, vous prenez une commission ? Ils sont fixes ? Tout dĂ©pend des cabinets. Ca va d’un montant fixe Ă  un certain pourcentage. Souvent cela ne dĂ©passe 1% du montant du prĂȘt. Mais 1% du montant cela me semble dĂ©jĂ  trĂšs cher. MĂȘme si, derriĂšre le courtier va faire gagner 10 fois plus. Je pars du principe que, par rapport Ă  la nĂ©gociation des frais de dossier qu’on peut obtenir en banque, simplement Ă  la prise en charge du dossier, les honoraires d’un courtier ne doivent pas dĂ©passer 1000 euros. Sachant que dans ces frais sont compris les frais de dossier bancaire. Quelqu’un qui ne veut pas aller voir un courtier, qui veut passer par sa banque. Est-ce que tu as quelques conseils, quelques recommandations Ă  lui donner ? Je pense que si la personne veut prendre en charge la nĂ©gociation de son prĂȘt, il a surtout intĂ©rĂȘt Ă  aller voir deux ou trois autres banques, pour revenir ensuite voir son banquier, fort des Ă©lĂ©ments qu’il aura obtenu des concurrents et pouvoir argumenter et nĂ©gocier les conditions. Donc le conseil c’est de ne pas aller voir son banquier en premier ? Tout Ă  fait. C’est quand on veut bien faire les choses, il y a beaucoup de paramĂštres, c’est quand mĂȘme complexe. C’est vrai qu’on s’aperçoit qu’au final, il y beaucoup de choses, les frais annexes, la maniĂšre dont vous allez emprunter, la maniĂšre dont vous allez nĂ©gocier, et surtout ce que vous pouvez nĂ©gocier. Car si vous ne savez pas ce que vous pouvez nĂ©gocier, vous n’allez pas le demander. Et si vous ne le demandez pas, le banquier ne vous le donnera pas. TrĂšs souvent ce sont des cadeaux qu’il sera obligĂ© de vous faire. Donc, si vous ne savez pas quels cadeaux il peut vous faire, vous n’allez pas oser lui demander. Enfin ce n’est pas que vous n’allez pas oser, vous ne saurez pas quoi lui demander. Olivier, c’est trĂšs simple, un banquier travaille pour sa banque. Et les intĂ©rĂȘts de sa banque, sont Ă  l’opposĂ© des intĂ©rĂȘts du client. Tout ce qu’il va nĂ©gocier en faveur du client, la banque le perd. Merci GĂ©rald et Ă  trĂšs bientĂŽt. Depuis peu, je dois utiliser le systĂšme Secur’pass pour valider les paiements sur internet. Pour information “C’est un service d’Authentification Forte, Gratuit, intĂ©grĂ© Ă  l’application de votre banque . Il permet de garantir que vous ĂȘtes l’initiateur d’une opĂ©ration bancaire. SĂ©curipass vous protĂšge contre la fraude et amĂ©liore l’exĂ©cution de vos opĂ©rations.” Si comme moi, vous n’avez pas de smartphone personnellement, c’est Ă  cause de mon handicap, le logiciel “bluestacks” permet de simuler un tĂ©lĂ©phone mobile sous Android sur un pc. normalement “bluestacks” est un logiciel pour jouer, mais il accepte toutes les applications Android. Une fois le logiciel “bluestacks” installĂ©, vous devez vous connecter Ă  votre compte Gmail ou en crĂ©er un, et mettre un moyen de payement si vous ne souhaitez pas mettre votre carte bancaire, vous pouvez mettre un compte PayPal, mĂȘme si vous en n’aurez pas besoin comme au premier dĂ©marrage d’un smartphone physique classique. À partir de ce moment, vous pouvez installer l’application de votre banque, en saisissant le nom de votre banque dans le champs de saisie situĂ© en haut de la page d’accueil. Puis vous suivez ces Ă©tapes Connectez vous Ă  l’application de votre banque depuis le logiciel “bluestacks” Ouvrez le menu latĂ©ral premier bouton en haut Ă  gauche SĂ©lectionnez la rubrique “SĂ©curiPass” Suivez les Ă©tapes du processus d’activation, et de crĂ©ation de votre code secret AprĂšs chaque achat sur internet pas avant, sinon cela ne fonctionne pas, dĂ©marrez l’application de votre banque avec le logiciel “bluestacks” un raccourcis se trouve sur votre bureau Pour finir, saisissez votre code secret pour valider la transaction vous avez environ 5 minutes pour le faire Trois autres solutions existent. La premiĂšre consiste Ă  demander Ă  votre banque, une carte de payement virtuelle. Mais ce service est payant. La deuxiĂšme est d’installer l’application de votre banque sur une tablette tactile, pour ensuite activer secur’pass, en fessant la procĂ©dure dĂ©crite prĂ©cĂ©demment. Pour la troisiĂšme solution, vous devez vous procurer un lecteur CAP auprĂšs de votre banque. Cet appareil vous permettra de valider vos achats sur internet. Si vous souhaitez plus d’informations, laissez un commentaire sur cet article. PS cet article est lu par une trentaine de personnes, par jour. Cela est consĂ©quent pour un blog personnel. De plus, j’avais Ă©crit cet article pour personnes handicapĂ©es, et au final, cela sert Ă©galement aux personnes valides n’ayant pas de smartphone. Saisir le nom de votre banque pour trouver l’application avec sĂ©cu’pass Vous souhaitez effectuer un crĂ©dit, une renĂ©gociation de prĂȘt immobilier ou un investissement locatif. Mais vous ne souhaitez pas changer de banque. Sachez que pour obtenir des conditions avantageuses, il n'est pas nĂ©cessaire de faire jouer la concurrence. Ou de menacer d'aller voir ailleurs. Voici les Ă©lĂ©ments Ă  prendre en compte. Une bonne relation avec votre banquier amĂšne forcĂ©ment Ă  un meilleur climat pour faire des demandes. Et elles aboutiront plus facilement. N'hĂ©sitez pas Ă  tisser une relation de confiance avec lui. Entretenez une certaine proximitĂ©. En cas de difficultĂ© financiĂšre, n'attendez pas pour lui en parler. Afin de trouver des solutions rapidement. Si c'est dĂ©jĂ  le cas, n'ayez pas peur d'aller vers lui. Il comprendra votre dĂ©marche, sans mĂȘme forcĂ©ment avoir Ă  l'expliquer. Au moment de la nĂ©gociation pour votre crĂ©dit en immobilier, prĂ©parez quelques arguments. Renseignez vous sur les taux actuels par exemple pour illustrer votre demande. La domiciliation des revenus L'une des raisons de ne pas changer de banque pour un crĂ©dit immobilier est la domiciliation des revenus dans la banque qui acceptera votre dossier. La domiciliation des revenus dans la banque prĂȘteuse est quasi-obligatoire si vous dĂ©cidez de changer de banque. Les conditions que vous avez actuellement sont sĂ»rement satisfaisante. Ce n'est pas acquis qu'elles soient les mĂȘmes dans votre nouvelle banque. Et ce n'est pas forcĂ©ment "agrĂ©able" de devoir tout changer. Qui dit changer de banque dit changement de conseiller bancaire. Des habitudes qui disparaissent quand d'autres seront Ă  prendre. La problĂ©matique est presque la mĂȘme pour votre Ă©pargne, ainsi que vos assurances diverses. Passer par un courtier en immobilier La nĂ©gociation bancaire est un domaine qui demande des connaissances. Il y a aussi des techniques de nĂ©gociation Ă  connaĂźtre. C'est trĂšs facile de s'y perdre. Un courtier en immobilier est un spĂ©cialiste du crĂ©dit immobilier et aussi de la nĂ©gociation avec les banques. DĂ©trompez-vous, votre banque ne prendra pas mal votre dĂ©marche de solliciter un courtier. Elle verra une occasion pour elle de faire des efforts pour conserver son client. Sachez qu'un courtier immobilier, en tant qu'apporteur d'affaire pour une banque, a une grille de taux avantageuse auprĂšs des banques. Il peut donc vous obtenir un taux intĂ©ressant. N'hĂ©sitez donc pas Ă  solliciter un courtier en prĂȘt immobilier ! est un courtier en ligne qui vous accompagne afin de trouver les meilleurs conditions pour votre prĂȘt immobilier. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez faire une estimation Emmanuel Frattini, travaille depuis plus de 20 ans dans l’univers bancaire. En 2017, il dĂ©cide s'associer avec Arnaud Guilleux, lui aussi spĂ©cialiste du crĂ©dit immobilier pour monter Un service de courtage 100% en ligne.

courtier qui ne trouve pas de banque