Lebut dun forum nest pas juste de demander de laide et de filer Ă  langlaise une fois le problĂšme rĂ©glĂ© Loin de moi cette idĂ©e de fuir Si quelquun rencontre le mĂȘme problĂšme que toi plus tard, et quil trouve cette discussion, il sera heureux dy trouver la solution.Tu las rĂ©glĂ© comment ton problĂšm Wallah Ă©carte-toi de ma rue. Eh le Coran poussez-vous Madame. » Voici les quelques phrases audibles de cette courte vidĂ©o diffusĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux. Vendredi 8 octobre, un incident Jefeed mais"Une camĂ©ra thermique enregistre les diffĂ©rents rayonnements infrarouge (ondes de chaleur) Ă©mis par les corps et qui varient en fonction de leur tempĂ©rature. Contrairement Ă  l Unmineur ĂągĂ© de 14 ans a Ă©tĂ© placĂ© en garde Ă  vue dans l'affaire de menaces aprĂšs la diffusion d'une vidĂ©o mimant une priĂšre musulmane et diffusĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux. Unhacker me menace par mail divulguer Ă  tout mes proches une vidĂ©o compromettante capturĂ©e sur ma webcam et mon Ă©cran, oĂč selon lui je serai en train de me bagnette devant un film de frappe Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. J'Ă©tais posĂ© chez moi quand une envie soudaine surgit Ni une, ni deux, je sors mon ordi, ferme les volets et commence mon affaire. En plus, je dĂ©cide de jeter un coup d'Ɠil Ă  la taille de ma bite, Ă  l'aube de mes 21 ans, la taille dĂ©finitive est atteinte. 14 cm de longueur + 13 de circonfĂ©rence, ce n'est pas fameux. De toute façon la taille compte pas, mieux vaut en avoir une petite travailleuse, qu'une grosse feignante disait mamie Bref, deux jours plus tard, je reçois une lettre et une clĂ© USB. Je mets la clĂ© et mon antivirus ne voit rien de clĂ©s, y avait une putain de vidĂ©o de moi en train de me masturber Un gars m'avait filmĂ© depuis la rue, avec une camĂ©ra thermique On voit une ombre toute rouge de moi en train de me branler + mesurer ma bite putain Il veut 1500e en premier versement, je fais quoi ?Edit J'ai oubliĂ©, il veut aussi diffuser mon adresse et une photo de moi prise dans la rue Message Ă©ditĂ© le 01 mars 2018 Ă  203635 par LaRemontada Un jeune de 19 ans a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  4 mois de prison avec sursis pour une tentative d’extorsion sur son ex-petite amie. Il lui demandait de l’argent pour ne pas diffuser une vidĂ©o. Par Julien Van Caeyseele PubliĂ© le 2 Jan 14 Ă  1000 La RĂ©publique de Seine et Marne Le couple avait passĂ© la nuit dans cet hĂŽtel de Savigny. Le prĂ©venu avait fait croire Ă  l’existence d’une vidĂ©o pour soutirer de l’argent Ă  son amie qui avait rompu Une histoire d’amour qui a mal tournĂ©. » Voici comment Mohamed, un Savignien de 19 ans, a expliquĂ© les faits de tentative d’extorsion par menace qui lui Ă©taient reprochĂ©s. Ce jeune homme a comparu, jeudi dernier devant le tribunal correctionnel de Melun pour avoir, par le biais de messages, tentĂ© de soutirer de l’argent Ă  sa petite amie qui l’avait comprendre le contexte de la rupture, il faut remonter au 16 fĂ©vrier. Le couple passe la nuit dans un hĂŽtel de Savigny. Le 11 mars, la sĂ©paration est officielle. Son ex-petite amie se prĂ©sente Ă  la gendarmerie pour dĂ©noncer des faits de viols. Des charges qui ne seront pas retenues contre Mohamed. Des accusations mensongĂšres, elle a vu que ça n’a pas marchĂ© donc elle a montĂ© cette affaire », en examen pour braquageMais dans la nuit de la sĂ©paration, il envoie plusieurs SMS Ă  la jeune femme. Parmi eux, il menace de diffuser une vidĂ©o de leurs Ă©bats contre une somme d’argent. Si tu continues je l’affiche dans tout Paris » Ă©crit-il. Il s’agit d’une vengeance dans un contexte de sĂ©paration », lui a rappelĂ© la procureure. Et la juge d’ajouter Toutes les histoires d’amour ne finissent pas au tribunal. »À la barre, Mohamed, a assurĂ© que cette vidĂ©o n’a jamais existĂ©. J’assume les messages, il y a une partie de chantage mais c’était sous le coup de la colĂšre. Je n’ai pas besoin de son argent. » Dans ses rĂ©quisitions, la procureure a Ă©voquĂ© un contexte dĂ©sagrĂ©able voire inquiĂ©tant. Il y a eu plusieurs messages sur une longue pĂ©riode remis Ă  une jeune femme fragile. »La magistrate a demandĂ© six mois de prison ferme pour ce jeune homme dĂ©jĂ  condamnĂ© pour des dĂ©gradations, vols et mis en examen pour un braquage. Si elle Ă©tait venue Ă  l’audience je me serai excusĂ©. Je l’aimais, je ne voulais pas lui voler de l’argent », a-t-il insistĂ©. Il a Ă©tĂ© reconnu coupable par les juges et condamnĂ© Ă  quatre mois de prison avec sursis et 200 € d’ article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre La RĂ©publique de Seine et Marne dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. ETP diffuser le concert tant attendu qui a rĂ©uni les 16 candidats de la premiĂšre Ă©dition de OperaciĂłn Triunfo’. Les artistes ont offert un grand spectacle qui s’est tenu dans le Palau Sant Jordi Ă  Barcelone. Les concurrents de la premiĂšre Ă©dition de OperaciĂłn Triunfo’ sur scĂšne C’était tout un Ă©vĂ©nement qui a rĂ©uni tous les concurrents. Plusieurs d’entre eux n’ont pas manquĂ© l’occasion de poster sur leurs rĂ©seaux sociaux aprĂšs avoir offert ce rĂ©cital. Chanteuse giselle a Ă©crit trĂšs chanceux de t’avoir
 je t’aime »a rĂ©pondu Ă  un tweet de son fan club qui s’est rendu au Palau Sant Jordi pour la soutenir. La chanteuse a dĂ©crit le moment qu’elle a vĂ©cu comme Pure Ă©motion
 Merci Ă  tous pour l’amour, la chaleur, le dĂ©vouement, la gĂ©nĂ©rosité  Je suis encore sous le choc de tout ce que j’ai vĂ©cu hier
 Merci Ă  tous !!! »a conclu la chanteuse sur une photo qu’elle a tĂ©lĂ©chargĂ©e sur son Instagram avec David Bustamante. Chenoa a publiĂ© une vidĂ©o sur Instagram dans laquelle il remercie ses followers pour leur soutien Je tiens Ă  remercier tous ceux d’entre vous qui Ă©taient Ă  Sant Jordi hier et Ă  la maison. Le mot merci est ce qui rassemble le mieux ce que je veux et ce que je ressens ». Les filles de l’OT. RĂ©union’ Natalia a Ă©crit sur son Twitter C’est impossible de dormir avec autant d’émotions !! Merci !! »a expliquĂ© la chanteuse, trĂšs Ă©mue par les nombreuses fĂ©licitations que les candidates ont reçues pour le concert spectaculaire qu’elles ont offert, accompagnĂ©es d’une photo d’elle se produisant au concert. Le controversĂ© Juan Camus a Ă©galement Ă©crit sur le mĂȘme rĂ©seau social Mais, remplissons-nous vraiment le Palau Sant Jordi et atteignons-nous les maisons de tant de gens ? Humble et trĂšs reconnaissant parce que j’ai tout donnĂ© hier »a condamnĂ© l’interprĂšte trĂšs Ă©mu, qui a finalement dĂ©cidĂ© de participer au concert. Le message Ă©motionnel de Mireia L’un des messages les plus Ă©mouvants a Ă©tĂ© celui publiĂ© par Mireia, qui a partagĂ© plusieurs photographies du spectacle. Sur son compte Instagram, la chanteuse a mis en ligne un collage accompagnĂ© d’un texte Ă©mouvant Et c’est arrivé  et puis on se rend compte Ă  quelle vitesse arrivent les choses qui vous remplissent et vous rendent heureux. Merci Ă  vous tous qui avez tout fait. est possible. Un rĂȘve pour moi et pour le reste de mes 15 compagnons. Comme c’est diffĂ©rent de vivre avec la maturitĂ©.. Encore une fois
 Quelle merveilleuse expĂ©rience grĂące Ă  OT1 », a Ă©crit Mireia Montavez, Ă©mue. De son cĂŽtĂ©, la chanteuse gĂšne a Ă©crit Bonjour !! Voyons qui digĂšre ça maintenant !! De retour Ă  la maison toujours sur un nuage ! Merci !! »publiĂ© sur Twitter. Publier des contenus sur Instagram peut-il nuire professionnellement? Voici la question que se posent aujourd'hui trois amis accusĂ©s de racisme depuis vendredi sur les rĂ©seaux sociaux et dĂ©sormais menacĂ©s de licenciement par leurs une vidĂ©o, visionnĂ©e par plus d'un million de personnes, on voit une jeune femme danser avec le visage grimĂ© en noir et vĂȘtue d'un boubou africain, pendant qu'un homme imite un singe avec un masque de macaque. Le tout sur le son de Saga Africa », et sous les Ă©clats de rire de la derniĂšre Ă  ce bad buzz » et Ă  un appel Ă  boycott, la sociĂ©tĂ© Le Slip français a convoquĂ© ses deux collaborateurs et les a mis Ă  pied Ă  titre conservatoire. L'Ă©curie chinoise de sport automobile DS Techeetah affirme Ă©galement au Parisien avoir suspendu » son employĂ©e, celle de la danse et du black face ».Le droit du travail se trouve de plus en plus confrontĂ© Ă  ce type de dossiers Ă  mi-chemin entre sphĂšre privĂ©e et sphĂšre professionnelle. On se souvient du cadre de NocibĂ© suspendu pour ses propos racistes ou encore des journalistes virĂ©s dans le cadre de l'affaire de la Ligue du LOL ». Ces problĂ©matiques sont trĂšs techniques et se rĂšglent souvent au cas par cas », relĂšve François Vaccaro, avocat en droit du travail au barreau de Paris. Pour lui, le cas des trois employĂ©s accusĂ©s de racisme peut dĂ©boucher sur des sanctions, voire Ă  un licenciement, mais a peu de chances d'aboutir sur le terrain disciplinaire ». Un trouble objectif dans le fonctionnement de l'entreprise »En principe, en effet, un acte privĂ© ne peut motiver aucune sanction disciplinaire. Et cela qu'il s'agisse d'un blĂąme ou d'un licenciement pour faute grave ou lourde. Il existe bien une exception en cas de manquement Ă  une obligation de son contrat de travail ». Mais cela concerne surtout des cas de probitĂ© », comme cet agent des caisses d'allocations familiales dĂ©barquĂ© en 2003 en raison de fraude aux prestations sociales. Ou ce cadre dans une banque virĂ© en 2011 aprĂšs avoir Ă©tĂ© condamnĂ© pĂ©nalement pour vol et trafic de soirĂ©e blackface provoque l'indignationIl y a nĂ©anmoins une autre façon de se sĂ©parer d'un employĂ© pour son comportement en dehors du bureau, sans passer par la sanction disciplinaire. La direction doit alors prouver que ces agissements crĂ©ent un trouble objectif dans le fonctionnement de l'entreprise ».À partir de lĂ , c'est du cas par cas », concĂšde François Vaccaro. Par exemple, un reprĂ©sentant commercial qui perd son permis de conduire aprĂšs avoir trop bu en sortie de discothĂšque peut ĂȘtre limogĂ© Ă  ce titre-lĂ  par sa boĂźte. Son patron peut estimer qu'il n'est plus en capacitĂ© de remplir sa mission sans voiture ». MĂȘme chose pour une insulte raciste envers un le niveau du bad buzz, et non la dimension racisteC'est principalement dans ce cadre-lĂ  que vous pouvez ĂȘtre menacĂ© de licenciement en raison de votre activitĂ© sur Facebook, Twitter ou Instagram. L'entreprise peut alors dĂ©noncer une atteinte Ă  son image ou considĂ©rer que son agent n'est plus opĂ©rationnel car devenu genre de motif concerne notamment les salariĂ©s en lien avec de la clientĂšle ou disposant d'un poste exposĂ©. Ce qui semble ĂȘtre le cas des collaborateurs du Slip français. Charge toutefois au service juridique de rĂ©colter des preuves. BoĂźtes mails remplis de critiques de consommateurs, vague de contestation sur les rĂ©seaux sociaux, crĂ©ation d'une cellule de crise
 tout est bon pour remplir le dossier », rĂ©sume l' prud'hommes, les juges auront ensuite Ă  dĂ©cider si les retombĂ©es d'un bad buzz sont telles qu'elles justifient un licenciement. Cela peut paraĂźtre bizarre Ă  premiĂšre vue mais il ne sera pas question de statuer sur le caractĂšre ou non raciste du comportement. AprĂšs, on imagine que cela influencera forcĂ©ment les juges », conclut Me François noter que cette dĂ©marche a aussi un coĂ»t. Contrairement Ă  une procĂ©dure disciplinaire, l'entreprise sera dans l'obligation de verser Ă  son collaborateur une indemnitĂ© lĂ©gale de licenciement, un prĂ©avis et une indemnitĂ© compensatrice de congĂ©s payĂ©s. Mais nul doute que certaines sont prĂȘtes Ă  pareil effort pour laver » leur rĂ©putation face Ă  la pression publique. La diffusion de photo sans autorisation reprĂ©sente divers risques rĂ©gis par le droit d’auteur et le droit Ă  l’image ; Ă©clairages. Diffusion de photo sans autorisation, ni crĂ©dit photo La propriĂ©tĂ© intellectuelle Sur le web comme ailleurs, le droit fondamental Ă  la propriĂ©tĂ© intellectuelle protĂšge les auteurs. À partir du moment oĂč une photographie est rĂ©alisĂ©e, le photographe devient automatiquement son auteur qui dispose alors du droit fondamental Ă  la propriĂ©tĂ© intellectuelle. En France, le droit Ă  la propriĂ©tĂ© intellectuelle protĂšge les Ɠuvres de l’esprit qui sont aussi bien les Ɠuvres musicales, littĂ©raires, graphiques, plastiques, que les photographies. Peu importe le support d’utilisation, toute autre personne qui souhaite alors publier cette photographie sur le web ou sur un support imprimĂ© devra utiliser le crĂ©dit photo. Cette mention qui peut apparaĂźtre de diffĂ©rentes maniĂšres souligne le lien de paternitĂ© entre une photographie et son auteur aux yeux du public. La paternitĂ© d’une Ɠuvre La paternitĂ© de l’Ɠuvre est un droit moral du photographe qui peut alors Ă  tout moment exiger que son nom soit inscrit aux cĂŽtĂ©s de son Ɠuvre utilisĂ©e et engager des poursuites envers une personne qui ne respecterait pas son droit de paternitĂ© d’aprĂšs le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Article L121-1 L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualitĂ© et de son oeuvre. Ce droit est attachĂ© Ă  sa personne. Il est perpĂ©tuel, inaliĂ©nable et imprescriptible. Il est transmissible Ă  cause de mort aux hĂ©ritiers de l’auteur. L’exercice peut ĂȘtre confĂ©rĂ© Ă  un tiers en vertu de dispositions testamentaires. Trouver une photo sur le web et en faire la diffusion sur un blog, un site internet ou encore sur les rĂ©seaux sociaux comme Facebook et Twitter, sans autorisation de son auteur, constitue alors une infraction. La publication ou la diffusion de photo sans autorisation est considĂ©rĂ©e aux yeux de la loi comme une atteinte au droit d’auteur qui se compose du droit moral et des droits patrimoniaux. Pour publier une photographie dont vous n’ĂȘtes pas l’auteur, il est alors impĂ©ratif de demander le droit au photographe et de mentionner son nom Ă  cĂŽtĂ© de la photo afin de pouvoir diffuser l’image sans risque d’une demande de dĂ©dommagement ou encore de poursuites en justice. Cas concret d’une diffusion de photo sans autorisation De plus en plus de photographes ou encore d’agences font appel Ă  des sociĂ©tĂ©s responsables de la gestion du respect de leurs droits d’auteur dont le rĂŽle est alors de repĂ©rer l’utilisation illĂ©gale de leurs Ɠuvres sur le web. Lorsque ce type de sociĂ©tĂ© dĂ©tecte alors une utilisation non autorisĂ©e des photos ou autres Ɠuvres de son client, elle a ensuite pour mission de demander le retrait de la photographie en question auprĂšs du fraudeur, mais aussi de rĂ©clamer un dĂ©dommagement qui peut parfois atteindre une belle somme d’argent. RĂ©cemment, un client de l’agence AntheDesign en a fait les frais aprĂšs avoir reçu un mail d’une sociĂ©tĂ© de gestion du respect des droits d’auteur. Cette sociĂ©tĂ© lui a demandĂ© la somme de 1 150 €uros en guise de dĂ©dommagement suite Ă  l’utilisation d’une photographie de son client, l’Agence France Presse. Cette photographie avait Ă©tĂ© trouvĂ©e sur Google Images et mise Ă  la une d’un article de blog. Qu’en est-il alors des images libres de droit ? L’expression libre de droit est un peu biaisĂ©e puisqu’il n’existe pas d’images vĂ©ritablement libres de droit, c’est Ă  dire de photographies qui ne soit pas protĂ©gĂ©es par le droit d’auteur. Si vous recherchez une image, mais que vous n’avez pas forcĂ©ment le temps de contacter les auteurs afin de demander un droit de publication, vous pouvez alors vous tourner vers les agences et les banques d’images gratuites ou payantes qui proposent notamment de nombreuses photographies dites libres de droits. Elles peuvent vous garantir une conformitĂ© avec le droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, ce qui n’empĂȘche pas aux photographes professionnels de toujours conserver leurs droits d’auteur sur ces images. Publication d’une photo d’une personne physique sans son autorisation En ce qui concerne la diffusion de photo reprĂ©sentant une personne physique, les choses se compliquent, les rĂšgles sont encore diffĂ©rentes et elles sont rĂ©gies par le droit Ă  l’image qui est un droit absolu pour toute personne. Le droit Ă  l’image s’appuie principalement et indirectement sur l’article 9 du Code Civil qui implique que chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Le droit Ă  l’image, faisant, en effet, partie de la vie privĂ©e, toute atteinte au droit Ă  l’image d’une personne constitue alors une violation de sa vie privĂ©e et lui ouvre la possibilitĂ© d’agir en justice en saisissant le juge civil ou le juge pĂ©nal. Une personne ou une entreprise souhaitant diffuser une image contenant une ou des personnes physiques doit alors impĂ©rativement obtenir un accord des personnes concernĂ©es ou bien se renseigner via l’auteur de la photographie. Cette rĂšgle est cependant sujette Ă  quelques exceptions et les photographies qui sont alors non soumises au droit Ă  l’image sont celles qui concernent La prise photographique d’une personne non cadrĂ©e dans un large public. Le droit Ă  l’information lorsque la photographie illustre un sujet historique, un sujet d’actualitĂ©, un sujet de sociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©ral ou encore les fonctions d’une personnalitĂ© publique sauf atteinte Ă  la vie privĂ©e, utilisation Ă  des fins commerciales et publicitaires ou dĂ©tournement de l’objet principal de la photo. Mise Ă  jour de vos contenus sur Internet Vis Ă  vis de la diffusion de photo sur un site web ou encore sur les rĂ©seaux sociaux et du droit sur internet en gĂ©nĂ©ral, de nombreuses personnes et entreprises semblent ĂȘtre dĂ©concertĂ©es et ne pas connaĂźtre les rĂšgles. L’exploitant d’un site Internet ou d’un blog diffusant des images dont il n’est pas l’auteur ou encore de photographies de personnes, doit non seulement contacter le site oĂč il a tirĂ© l’image afin de demander l’autorisation de la rĂ©utiliser, mais aussi Ă  veiller Ă  recueillir l’autorisation des intĂ©ressĂ©s dans le cadre du droit Ă  l’image si celles-ci exposent des personnes physiques. 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